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Vitrier Sceaux : Vitrier à
Sceaux qui est une commune française du département des Hauts-de-Seine en
région Île-de-France, dans l'arrondissement d'Antony, au sud de Paris. Le
territoire de la commune couvre partiellement le vaste parc départemental de
Sceaux, dessiné par André Le Nôtre, comptant 181 hectares (dont 120 sur le
territoire de la commune de Sceaux), vestige du domaine personnel de Colbert.
Sceaux est une ville des Hauts de Seine de la banlieue sud de Paris située dans
le Hurepoix, à 9,8 kilomètres au sud-ouest de la cathédrale Notre-Dame de
Paris. Sceaux est traversée par la Coulée verte du sud parisien qui fait partie
de la via Turonensis, l'un des quatre chemins de France du pèlerinage de
Saint-Jacques-de-Compostelle et de la véloroute Paris-le Mont-Saint-Michel
véloscénie. Sceaux est traversée par un axe majeur est-ouest : l'axe D 60
commence à l'est à la place de la Libération situé à la limite est de la ville
avec Bourg-la-Reine. De là, il longe le lycée Lakanal sous le nom d'avenue du
Président-Franklin-Roosevelt jusqu'au carrefour avec la rue Lakanal (la moitié
de la rue, côté nord, appartient à la commune de Bourg-la-Reine jusqu'au
portail du lycée Lakanal sous le nom de rue Victor-Hugo). La rue passe
également au-dessus de la ligne du RER B à moins de 500 mètres de la gare de
Bourg-la-Reine. Au carrefour, cet axe continue en direction du centre ville
sous le nom de boulevard Colbert jusqu'au rond-point avec l'avenue de Verdun ;
ensuite il continue sous le nom d'avenue Camberwell jusqu'au rond-point Fontenay-Houdan,
puis jusqu'à la gare RER de Robinson sous le nom de rue Houdan. Il se prolonge
dans la commune du Plessis-Robinson sous le nom d'avenue Robinson. Sceaux, est
une « celle » : « apud Cellas » vers 1120, puis Ceaux, la graphie actuelle a
été influencée par le mot « sceau ». Le nom de Sceaux est mentionné en 1120 et
provient du mot latin cellae qui signifie « petites maisons ». Jusqu’à la loi
du 10 juillet 196446, la commune faisait partie du département de la Seine. Le
redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que
la commune appartient désormais au département des Hauts-de-Seine à la suite
d'un transfert administratif effectif le 1er janvier 1968. La commune était
historiquement le chef-lieu du canton de Sceaux. Dans le cadre du redécoupage
cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de
Châtenay-Malabry. Sceaux relève du tribunal d'instance d'Antony, du tribunal de
grande instance, du tribunal pour enfants, du tribunal de commerce de Nanterre,
du conseil de prud'hommes de Boulogne-Billancourt, de la cour d'appel de
Versailles, du tribunal administratif de Cergy-Pontoise et de la cour
administrative d'appel de Versailles.
La première mention de Sceaux (du latin cellae, petites maisons) remonte à 1120. À partir de 1203, la paroisse de Sceaux se sépare de celle de Châtenay et devient une paroisse indépendante. À côté de l’église, se constitue au 15e siècle un domaine seigneurial. À partir de 1670 et pendant un siècle environ, ce domaine prend une place prépondérante dans l’histoire de Sceaux. NAISSANCE DU DOMAINE DE SCEAUX : En 1670, Jean-Baptiste Colbert, intendant des finances de Louis XIV, devient propriétaire du premier château construit en 1597. Il achète de nombreux terrains et constitue un vaste domaine. Il fait venir André Le Nôtre, qui dessine les jardins, crée l’Octogone et les cascades. Aujourd’hui, le parc de Sceaux et ses monuments constituent l’un des ensembles les mieux préservés du 17e siècle.
La première mention de Sceaux (du latin cellae, petites maisons) remonte à 1120. À partir de 1203, la paroisse de Sceaux se sépare de celle de Châtenay et devient une paroisse indépendante. À côté de l’église, se constitue au 15e siècle un domaine seigneurial. À partir de 1670 et pendant un siècle environ, ce domaine prend une place prépondérante dans l’histoire de Sceaux.
NAISSANCE DU DOMAINE DE SCEAUX : En 1670, Jean-Baptiste Colbert, intendant des finances de Louis XIV, devient propriétaire du premier château construit en 1597. Il achète de nombreux terrains et constitue un vaste domaine. Il fait venir André Le Nôtre, qui dessine les jardins, crée l’Octogone et les cascades. Aujourd’hui, le parc de Sceaux et ses monuments constituent l’un des ensembles les mieux préservés du 17e siècle.
LES "NUITS DE SCEAUX" : À Colbert succède son fils le marquis de Seignelay en 1683, qui fait creuser le grand canal et construire l’Orangerie. Apres son décès en 1690, le domaine de Sceaux est vendu au duc du Maine, fils de Louis XIV et de Madame de Montespan. Son épouse, la duchesse du Maine, installe une cour littéraire, dont fait partie Voltaire. C’est l’époque des fameuses “Nuits de Sceaux”. En annexe du domaine, la duchesse fait construire le pavillon de la Ménagerie dans un parc, connu aujourd’hui sous le nom du “jardin de la Ménagerie”.
PENDANT LA RÉVOLUTION FRANÇAISE : Le domaine est confisqué lors de la Révolution et converti en école d’agriculture. La ville de Sceaux est rebaptisée “Sceaux l’unité” par décret de la Convention. Son premier maire est élu en 1790. Remis en vente en 1793, le domaine est acquis par Lecomte, riche négociant, qui fait raser le château et le pavillon de la Ménagerie
AU 19E SIÈCLE : La ville devient sous-préfecture du département de la Seine en 1800. Elle compte 1348 habitants en 1801. Entre temps, le duc de Trévise devient le propriétaire du domaine et fait redessiner le parc sur le plan ancien et construire, en 1856, le château actuel.
En 1846, la première ligne de chemin de fer reliant Denfert à Sceaux marque l’essor de la ville. De nombreux Parisiens viennent participer au célèbre Bal de Sceaux, qui a lieu au jardin de la Ménagerie. Certains feront construire une maison secondaire à Sceaux. La première mairie est construite en 1843 et la sous-préfecture 20 ans plus tard par le même architecte, Claude Naissant. Le lycée Lakanal, “premier lycée a la campagne” de Jules Ferry, ouvre en 1885. Cette même année, Pierre Curie épouse Marie Sklodowska. Les deux savants, prix Nobel, habitent à Sceaux et y seront enterrés avant d’être inhumés au Panthéon en 1995.
DANS LA PREMIÈRE MOITIÉ DU 20E SIÈCLE : En 1923, le domaine est mis en vente et sauvé du démembrement par le maire d’alors, Jean-Baptiste Bergeret de Frouville, qui obtient son rachat par le département de la Seine. Une partie du domaine est loti et donne naissance au quartier du parc, longé par les nombreuses maisons d’architectes célèbres. En 1925, l’École polytechnique féminine (EPF), devenue une école d’ingénieur mixte, est implantée à Sceaux. Le lycée Marie-Curie, pour filles à l’origine, voit le jour en 1936. Conçu pour accueillir 1200 élèves, il incarne une architecture moderne et innovante pour l’époque. La même année, le musée départemental du domaine de Sceaux, installé dans le château, est ouvert au public.
DEUXIÈME MOITIÉ DU 20E SIÈCLE ET DÉBUT DU 21E : La ville se développe. Des logements collectifs sont construits : la résidence des Bas-Coudrais qui compte plus de 700 logements sociaux ou encore des résidences privées comme la résidence Penthièvre. La ville se dote d’équipements scolaires, sportifs, et culturels de qualité. Trois écoles primaires sont construites entre 1956 et 1969. La piscine des Blagis et le théâtre des Gémeaux, devenu scène nationale, suivront. À cette même période, la Ville accueille également la faculté de droit Jean-Monnet et l’institut universitaire technologique (IUT) rattaché à la faculté Jean-Monnet.
En 1968, Sceaux compte 20 342 habitants. La rue Houdan devient la première rue piétonne d’Île-de-France en 1976. À partir des années 1980, la construction de logements, les travaux d’aménagement, l’implantation de nombreux commerces et de la bibliothèque municipale dans le nouveau quartier Charaire dynamisent le centre-ville. Depuis, plusieurs grands projets ont également été réalisés et de nouveaux aménagements urbains sont en cours.
Région Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Vitrier Antony
Vitrier Châtenay-Malabry
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
(EPT Vallée Sud Grand Paris)
Maire
Mandat Philippe Laurent
2014-2020
Code postal 92330
Code commune 92071
Démographie
Gentilé Scéens
Population
municipale 19 479 hab. (2016 en diminution de 2,26 % par rapport à 2011)
Densité 5 411 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46' 43? nord, 2° 17' 26? est
Altitude Min. 53 m
Max. 103 m
Superficie 3,6 km2
Vitrier : Fiche issue du site https://www.portailartisanat.fr/formation/Vitrier/
Fiche métier Vitrier - Définition
Pour l’habillage d’une maison individuelle ou d’un immeuble en verre, on a recours à un Vitrier. Quelle est la nature du travail du Vitrier ? Quelle formation suivre pour devenir Vitrier ? Quels sont les débouchés ? Quelle est le salaire d’un Vitrier ? Cette fiche métier Vitrier vous apporte les réponses aux différentes questions que vous pouvez vous poser.
Un Vitrier se présente comme un spécialiste du verre. En effet, ce dernier est très doué dans le maniement du verre. En général, ce professionnel réalise des vitrages pour des hôtels, des immeubles de prestige, des bureaux… Cet ouvrier qualifié est capable de transformer toutes sortes de vitrage. D’une habileté manuelle à nul pareil, ce professionnel est spécialisé dans la fabrication et la pose de vitrails colorés, de porte-fenêtre, de baies vitrées, de portes automatiques, de vérandas… Le Vitrier est également appelé Vitrier miroitier. Ce professionnel de l’isolation et de la décoration est capable de fabriquer des encadrements de miroirs. Il fabrique généralement ses produits verriers dans son atelier. De plus, la pose de ses produits verriers se fait aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur des bâtiments.
Pour commencer, le Vitrier prend les mesures du vitrage à placer. Puis, il dessine les formes du vitrage et passe à la coupe, à la soudure, au façonnage et à l’assemblage des vitrages et profilés. Il fixe également des vitraux, pose des lucarnes, des miroirs intégrés, des portes-coulissantes…
Le Vitrier est également spécialisé dans la pose et l’entretien de serrures, gonds et poignées. Ce professionnel travaille parfois seul, et souvent en équipe.
Pour mener à bien ses opérations, le Vitrier utilise différents outils tels que les pistolets à pression, les scies, les tenailles, le diamant, les ventouses, le coupe-verre…
Pour devenir Vitrier, il est nécessaire d’avoir certaines connaissances et compétences.
En premier lieu, il faut être capable de lire et de dessiner des plans.
Aussi, il doit être très respectueux des normes de sécurité et être très vigilant afin de ne pas se blesser.
Il doit aussi avoir une bonne condition physique. Ce professionnel doit le plus souvent, se tenir debout et dans des positions peu confortables.
Les qualités relationnelles sont également indispensables pour exercer ce métier. Vous devez être à l’écoute de vos clients et pouvoir les conseiller sur les types de verres.
Il faudra aussi avoir le sens de l’esthétique. De même, avoir le goût du calcul est un plus, tout comme la facilité pour le dessin.
Ce spécialiste doit être également capable de travailler en équipe.
Formation Vitrier - Devenir Vitrier
Le Vitrier est un métier noble qui attire de plus en plus de jeunes. Il existe de nombreuses formations qui vous permettront d’exercer pleinement le métier de Vitrier.
Vous pouvez, par exemple, suivre une formation pour obtenir un CAP Miroiterie, un bac pro ouvrages du bâtiment : aluminium, verre et matériaux de synthèse (anciennement bac professionnel Bâtiment, Métal, Aluminium, Verre) ou un BT Miroiterie. La formation dure en général, entre 2 et 3 ans.
Débouchés et salaire d’un Vitrier
La demande est très forte en ce qui concerne le métier de Vitrier. Il faut savoir qu’il existe de nombreux débouchés. Ce professionnel peut travailler dans une entreprise dans le domaine du bâtiment. Il peut aussi évoluer après quelques années d’expérience et devenir chef de chantier ou chef d’équipe. Il a également la possibilité de travailler à son propre compte.